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 NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me

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A. Neelàh Stone

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MessageSujet: NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me   NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me EmptyDim 9 Juin - 15:35




Alyannah Neelàh Stone

You can take everything i have, you can break everything i am.
PRÉNOMS + Alyannah Neelàh NOM + Stone ÂGE + 20 ans DATE+LIEU DE NAISSANCE + 31 janvier 1993 ORIGINES + Américaine METIER/ETUDES + Etudiante en littérature pour devenir éditrice. STATUT CIVIL + Célibataire ORIENTATION SEXUELLE + Hétérosexuelle STATUT FINANCIER + Aisé GROUPE + New in Town AVATAR + Demi Lovato CRÉDITS + tylers

Questions time
1) Aimes-tu vivre à Tucaloosa ? + En six mois, je peux dire oui, j'adore vivre ici.
2) Quel est ton endroit favori ? + La rivière parce que c'est paisible et que j'adore venir écrire ou lire ici.
3) Que penses-tu de ces habitants ? + Ils ont l'air sympa, plus sympa que dans mon ancienne ville en tous les cas.
4) Et sinon, t'aimes bien le matin, qu''est-ce que tu fais ? + Je me lève, je prends mon petit déjeuner, je vais courir et je vais en cours.
5) Tu te vois comment dans 10 ans ? + Je me vois heureuse..
Si j'étais...
+ une fleur: Rose
+ une saison: L'hiver
+ une musique: The Fray- You found me
+ un sentiment: La peur
+ un livre: La couleur des sentiments
+ un film: La ligne verte
+ un parfum: Black XS
+ un endroit: Un parc
+ un personnage fictif: hum.. Juliette de Roméo & Juliette
+ une personne réelle: Quelqu'un de plus fort
+ un animal: Un chien

PRENOM/PSEUDO + angélique/wild.hapiness ÂGE + haha je suis jeune t'inquiète TU PENSES QUOI TU FORUM? + je ne dirais rien, mais j'adore le design I love you QUELQUE CHOSE POUR L’AMÉLIORER? + ca c'est au membre de le dire pas à moi Razz PERSONNAGE INVENTE OU SCENARIO? + Personnage inventé UN DERNIER MOT? + BLOUP. coeur yeux Je vous adore I love you




Dernière édition par A. Neelàh Stone le Dim 9 Juin - 16:10, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me   NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me EmptyDim 9 Juin - 15:35




I wanna live but your words can murder
Il y a 6 mois.
Une nouvelle vie commence enfin. Le taxi vient juste de me déposer dans ma nouvelle maison, en Alabama. Les voisins me regardent et instinctivement, je baisse les yeux. Les mauvaises habitudes ne peuvent pas se perdre comme ça, je me dépêche de rentrer pour qu’il me fixe encore plus. Les déménageurs m’aident gentiment à défaire les cartons et à monter mes meubles. Je vis toute seule dans une maison, cadeau de mes parents qui n’ont pas vu mon mal-être. Cette maison ne va pas remplacer les années où ils n’ont pas fait attention à moi. Une jolie petite maison, pas trop grande. Parfait, de toute façon, je pense y passer le plus clair de mon temps. De toute façon qui voudrait trainer avec une fille comme moi ? Une fois que les déménageurs ont fini de monter les meubles, je vais vers les cartons et commence à les défaire. De l’argenterie, des souvenirs de mon enfance, des produits, des cadres que je voulais conserver. Voilà, je vis toute seule désormais.. Ma mère a glissé une photo de famille, pensant sans doute bien faire, une larme sur ma joue lorsque je me revois.

Je suis née dans une famille de médecin, mon père est chirurgien cardio-thoracique, ma mère aussi est un brillant chirurgien spécialisée dans la pédiatrie. Ils ont quand même réussi à m’avoir, moi leur fille unique, il y a vingt ans, alors qu’ils étaient tous deux résidents. Ils ont toujours réussi à concilier, boulot et bébé, au début. Je me rappelle les fois où je jouais avec mon père ou qu’on se prenait tous les deux et qu’il m’offrait une glace ou autre chose et quand j’allais voir des films avec ma mère et faire du shopping. Ce n’était pas souvent mais quand ils étaient en repos. Ils passaient entièrement leur temps avec moi, ce que j’aimais par-dessus tout. Quand j’étais petite, c’est là où j’étais vraiment heureuse, j’avais des amis, ma famille était là, j’étais vraiment à l’aise et pour moi la vie était comme un petit nuage doux. L’enfance était quelque chose de merveilleux. C’était le temps de l’innocence et que tout se passait bien. J’étais vraiment heureuse en ce temps-là et j’adorais passer du temps à l’hôpital en compagnie de mes parents quand la nourrice ne pouvait pas me garder. Bien sûr, ils passaient en coup de vent et moi j’étais dans la salle de repos, il y avait toujours du monde (des internes, externes, résidents..) ils s’occupaient aussi de moi et réellement c’était sympa. Je voyais et voit toujours mes parents comme de véritables héros qui sauvent des vies et qui ne comptent pas les heures passées au travail. Malgré toutes les heures que j’ai passé dans l’hôpital de Savannah, en Géorgie, je ne me vois vraiment pas médecin. Le sang, ça me fait tourner de l’œil. Quand j’étais petite, j’avais vraiment une vie de rêve, peut-être que mes parents n’étaient pas assez là, mais ça pouvait se comprendre et il compensait largement quand il avait du temps libre ou qu’il prenait des vacances. C’était pour moi et pour se retrouver un peu en famille, c’était un bonheur incomparable.

C’est là où tout a tourné au cauchemar dans ma vie. J’ai changé d’établissement pour aller avec des adolescents. C’est bien connu pour que ce soit l’âge bête et surtout au début. Je n’étais pas filiforme comme fille, j’avais même des formes, beaucoup de formes. C’est à ce moment-là où je n’ai pas compris pourquoi, mais je n’étais plus appréciée. On m’a tourné le dos, du jour au lendemain. Plus personne ne voulait m’avoir comme copine On me faisait des farces vraiment puérils et sans intérêt. J’étais la bouffonne de service, personne ne voulait trainer avec moi. Je me suis renfermée sur moi-même parce qu’on abusait de ma gentillesse, on m’a beaucoup fait croire qu’on voulait qu’on soit amis et à chaque fois, je reprenais espoir, mais à chaque fois, c’était une farce et dès que je disais quelque chose à quelqu’un, tout le monde était au courant. La joie de vivre que j’avais depuis que j’étais petite a instinctivement disparu, laissant place à quelqu’un de solitaire, ne disant plus rien. Même en cours, je ne disais pas un mot, les profs me pensaient timide alors que ce n’était pas le cas, dès que je disais quelque chose, quelqu’un trouvé toujours prétexte à rire. Quand les gens me regardaient, ils riaient et me traiter de grosse. De conne. Enfin, j’ai eu le droit à tout. Je rentrais le soir, et je fonçais dans ma chambre en pleurant, dans ce grand appartement où il n’y avait jamais personne. J’en veux à mes parents car ils n’ont jamais rien remarqué ou ils ont fait semblant, je ne sais pas. Ils ne m’ont jamais posé de questions quand ils voyaient mes yeux gonflés et rouge. Quand je ne voulais pas aller en cours et que je prétextais que j’avais mal au ventre, à la gorge, quand je restais chez moi et que jamais personne ne venait me chercher. J’avais un portable et il ne sonnait jamais. J’aurais voulu être plus forte, ne pas tomber dans cette spirale, ne pas me laisser faire comme je l’ai fais. Essayer de faire quelque chose mais ils étaient tous contre moi. TOUS. Et j’étais trop gentille, je pensais que les gens pouvaient être gentille, je me faisais avoir à chaque fois. Seule et contre tous, c’était ma devise, je me conditionnais chaque matin pour y aller. Je me disais de faire abstraction de leur remarque mais c’était trop dur, ça faisait trop mal. Certains étaient mes voisins et ils poussaient le vice. En dernière année, avant le lycée, je repoussais tout le monde, ils arrivaient toujours à me faire pleurer. Ils avaient toujours ce qu’ils voulaient, j’avais peur, peur d’eux. Peur de mes bourreaux qui me complexaient de tout. Mon visage, mes hanches, mes fesses, tout. C’est à cause d’eux que je suis autant complexée et que je n’ose même plus me regarder dans un miroir, des années à être conditionnées, ça laisse des traces. Je n’avais qu’un seul refuge, la musique et l’écriture qui me permettait d’oublier tout. J’écrivais des histoires avec des héroïnes au caractère bien trempés, qui sont forte, qui ne se laisse pas intimider par personne, qui sont quelqu’un que je ne suis pas.. Quand je partais en vacances, avec de la famille ou seule, j’étais complètement seule et indépendante, personne ne me comprenait, je ne cherchais pas à me mélanger aux autres et quand on venait me parler, je me renfermais dans ma coquille. J’ai fais une généralité, tout le monde cherchait à me blesser ou à se moquer de moi. En prenant du recul, peut-être qu’il cherchait juste à me connaitre mais comment savoir quand on vous harcèle tous les jours, qu’on se moque de vous sans cesse.. J’avais hâte d’être au lycée puisqu’apparemment, ils sont plus matures, si seulement la télé ne me vendait pas ça…

Le lycée. Chose que je rêvais. Les gens étaient matures et ne faisaient peu de cas de ça. Mais je suis forcément tomber avec des gens qui étaient déjà en cours avec moi. Le surnom d’Alyannah la baleine, la grosse a continué. Cette fois, tout le monde ne cherchait pas à me faire du mal, j’avais le choix entre ceux qui prenait part à ce jeu stupide et ceux qui me prenait en pitié mais qui ne faisait rien. Ils se contentaient de dire « La pauvre.. » j’étais victime et non maitre de mon destin. Je souffrais toujours en silence. La solitude étant mon seul allié depuis ces années. J’aurais pu en parler à mes parents, mais est-ce qu’ils m’auraient vraiment écouté ? J’avais peur de les décevoir, je n’étais vraiment pas à leur hauteur et malgré tout, j’étais toujours en colère contre eux parce qu’ils étaient aveugles. Ils consacraient plus de temps à leur travail. J’avais l’impression qu’il m’abandonnait aussi. Tout le monde m’abandonnait. Je me sentais réellement démunie, attirée complètement par le vide mais je tenais bon. Je m’accrochais, je ne voulais pas leur faire ce cadeau en plus. Je leur en faisais déjà trop. Je voulais changer les choses, je voulais qu’ils me fichent la paix. Je ne parlais jamais et j’avais toujours des bonnes notes. Les profs étaient étonnés le jour où j’osé décrocher un mot, j’avais l’impression qu’ils allaient tomber de leur chaise. Eux aussi ils n’ont rien fait, ils ont plusieurs fois entendu les railleries de mes chers camarades, certaines même trop blessante me forçaient à quitter la classe en pleurant. J’étais trop faible, je le suis encore à l’heure d’aujourd’hui. Le pire, c’est que je n’arrivais même pas à être méchante, aussi méchante qu’eux. Ils ont gagné, ils m’ont brisé. A force de cette violence verbale, je suis devenue ce qu’il voulait, mes kilos, je les ai perdus sans faire de sport mais je ne mangeais plus rien. Je n’avais plus faim, j’ai maigri comme ça, du jour au lendemain. J’ai perdu mes kilos en trop en seulement deux ou trois mois.

MAIS, il n’y a pas eu que les mots. Lors de ma dernière année à la High School de Savannah, dans le Missouri, il y a eu un nouveau. Noah, il était magnifique mais franchement, je savais très bien comment ça allait se finir. Alors on ne s’est pas adressé pendant un mois. Jusqu’au jour où nous avons un TP de chimie à faire et qu’il se place à côté de moi. Il me sourit, je fais de même. On fait notre tp ensemble et il essaie de me parler, mais j’essaie de ne pas me faire avoir cette fois, alors je ne lui réponds pas trop. On lui fait des vannes car il me parle, ça n’a pas l’air de l’atteindre, je suis impressionnée. On continue à se parler, franchement, c’est super sympa, j’ai l’impression d’avoir trouvé un ami. Je ne l’empêche pas de parler aux autres, mais tout le monde lui tourne le dos. Je lui ai proposé à mainte reprise de me laisser seule, mais il ne voulait pas. Je commençais vraiment à être contente. A me dire que la vie me souriait un peu. Je me sentais bien avec lui, j’avais vraiment l’impression que ça allait aller mieux. J’ai été au bal de promo avec lui, je n’aurais jamais cru y aller un jour. C’était bien, on a bien rigolé, on y a été autant qu’amis. Je voulais me méfier de ce bonheur trop parfait. Je n’y arrivais pas et sans que je m’en rende vraiment compte, je me suis complètement attachée à lui. On riait un peu moins de moi, c’était appréciable. A la remise des diplômes, il m’a demandé de sortir avec lui, j’ai accepté, c’est mon premier vrai copain. Tout les gens de mon lycée avait forcément pris l’université de Savannah, dont moi je l’avoue spécialité dans l’édition. Devenir éditrice moi qui adore lire et écrire, ça peut être un bon moyen. Noah lui a choisi le commerce. Je suis dans un conte de fée avec lui, j’ai l’impression de renaitre. Je ne fais plus attention aux autres, j’ai l’impression d’être plus forte. Il y a quelques mois, un gars de mon lycée est venue me voir « Alyannah, la baleine Alyannah ! » un petit sourire railleur qui me fit baisser la tête alors qu’il me fixait « Va t’en s’il te plait ! » lui demandais-je comme une supplication. « Hey tu veux savoir pourquoi ton copain il est venue te parler ? » je m’arrêtais en le regardant, c’était quoi ce délire ? « Quoi ? » lâchais-je surprise. Je voyais qu’il jubilait mais qu’est-ce qu’il allait me dire encore. « Ecoute bien, tu vas rire toi aussi. Il est arrivé l’année dernière et il a voulu intégrer l’équipe de football, MON équipe en soit, son test pour qu’il soit accepter, c’est qu’il approche la baleine de l’école, on a lu tout vos premiers messages, c’est touchant.. » et il continuait de parler mais je ne l’écoutais plus. Ils vont finir par me tuer, mes yeux s’embuèrent de larmes, c’était trop. J’en avais assez que tout le monde se foute de ma gueule, pourquoi je m’obstine à rester ici alors qu’on ne veut pas de moi. Pourquoi j’ai été aussi conne ? « Elle pleure la pauvre petite ! » dit-il ironiquement. Je le regarde et part en courant, essuyant mes larmes qui coulaient. Je m’étais réfugiée dans ma grande maison. Une ou deux heures plus tard, j’ai eu le droit à la visite de Noah. « Aly’ qu’est-ce qui s’est passé ? » me demanda-t-il visiblement inquiet. Quand il essaya de me serrer dans ses bras, directement je le repoussais. « Tu m’as pris pour une conne, bravo, t’as gagné, dis leur que t’as brisé le cœur de la baleine et fous moi la paix ! » des larmes de rages. Il se gratta la tête, visiblement gêné. « Alyannah, je ne te connaissais pas à l’époque.. Je me suis attaché à toi et j’ai.. » « Tais-toi ! Au fond t’es comme tous ces gens qui me persécutent, seulement venant de toi, ça fait plus mal ! Dégage, vas retrouver tes amis débiles, ris bien de tout ce que j’ai pu t’envoyer ! Je pensais vraiment que t’étais différent mais t’es encore pire qu’eux, géniale ! » Dis-je en croisant les bras et en essayant de ne pas pleurer devant lui. « DEGAGE ! » hurlais-je ensuite, je le poussais vers la sortie et je claquais la porte. Briser, je ne veux plus rester ici. Le soir quand un de mes parents rentrent, je leur annonce que je veux déménager. Ma mère me regarde et ne sait pas trop quoi dire. Les quatre semaines qui ont suivis mes parents font tout pour me convaincre de rester, mais je ne peux plus rester, je ne veux plus. J’ignore tous les appels de Noah. Je ne veux pas rester dans la même ville que lui. Je ne veux plus le voir tout simplement mais un soir, je craque et je pète un câble, je révélé tout à mes parents qui ne s’attendaient pas à ça. Ma mère en a pleuré. Moi, j’avais même plus de larmes pour ça, bien que ce soit ancrée en moi. Quand ma mère essaie de me toucher, je ne peux pas, je la repousse, c’est plus fort que moi. Je n’arrive plus.. Voilà pourquoi je suis arrivée à Tuscaloosa, en Alabama, à douze heures de route de chez moi. Pour recommencer ma vie, ailleurs et bien loin d’eux. Je ne veux plus être cette fille que l’on dévisage, que l’on regarde, qu’on se moque.. Je veux juste une vie normale. Je ne sais pas si cela sera mieux mais je ferais tout pour. Alyannah va s'éteindre, je ne supporte plus ce prénom. Je vous en supplie, appelez moi Neelàh..





Dernière édition par A. Neelàh Stone le Dim 9 Juin - 16:01, édité 3 fois
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Matteo H. Whitaker

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MessageSujet: Re: NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me   NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me EmptyDim 9 Juin - 15:55

REWELCOME MINI MWA ♥
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MessageSujet: Re: NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me   NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me EmptyDim 9 Juin - 16:11

Meeerci ma grande soeur yeux
J'ai fini ma fiche I love you
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Matteo H. Whitaker

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MessageSujet: Re: NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me   NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me EmptyDim 9 Juin - 16:24


WELCOME HOME !
Et voilà, tu as parfaitement réalisé ta fiche et tu es maintenant officiellement un citoyen de notre belle ville ! Tu peux dès à présent créer ta fiche de liens, celle de rp, faire un tour ici et ici. Bon jeu I love you



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Nia Boyle

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MessageSujet: Re: NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me   NEELAH - hold my hand and tell me that you wanna stay with me EmptyDim 9 Juin - 17:41

welcome here petite fleur I love you
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