PRÉNOMS + Liam Harry NOM + Deakin ÂGE + 23 ans. DATE+LIEU DE NAISSANCE + 20 février ORIGINES + New Yorkaise METIER/ETUDES + Photographe STATUT CIVIL + célibataire. ORIENTATION SEXUELLE + hétérosexuelle STATUT FINANCIER + très très bon. GROUPE + résident. AVATAR + Robert Pattison. CRÉDITS + bazzart

PRENOM/PSEUDO + lou ÂGE + 17 ans. TU PENSES QUOI TU FORUM? + J'adore le design ! J'espère que je vais me plaire:D QUELQUE CHOSE POUR L’AMÉLIORER? + Hum.. Je ne sais pas.. il m'a l'air déjà très bien PERSONNAGE INVENTE OU SCENARIO? + Personnage inventé! UN DERNIER MOT? +

La partie de l'histoire. Vous rédigez de la manière que vous voulez, on veut seulement trente lignes, courage jeune padawan, je sais que tu peux le faire


Liam. C'est comme ça que je m'appelle. Je n'ai peur de rien. Je suis en bonne santé. C'est tout le réel de ma personnalité que les gens connaissent. Oui, j'ai donc ce petit côté mystérieux qui plaît à tant de filles. C'est étrange, dans le cas inverse, je trouverai ça répugnant. Dans cette partie de cette présentation, je vais devoir vous racontez mon histoire. Je le ferai, avec sincérité. Mais gardez mon histoire pour vous. Je vous laisse dans la confidence. Personne d'autre ne doit savoir, je ne veux pas de pitié, pas de regards compatissant. Je veux qu'on me haïsse de jalousie. Je veux être aimer. Aduler. La vérité, gardez-la pour vous. 

Mes parents se sont connus à la fac. Mary et Carl. Deux étudiants un peu trop fêtard. Ils s'aimaient bien, tous les deux. Enfin c'est ce que ma mère avait tendance à me dire. Elle me le décrivait avec des étoiles dans les yeux. Elle l'aimerait toujours. Coûte que coûte. Je n'ai jamais compris cette affreuse manie qu'ont les gens d'aimer ceux qui les font souffrir. Cet homme est parti. Il n'existe plus, il n'a jamais existé. Et pourtant, il a réussi à détruire ma vie à distance. L'explication ? Elle est aussi simple que toutes les autres. Il est parti après 4 ans de vie commune avec ma mère quand il a su qu'elle était enceinte. Il a brisé, émietté, écrasé le cœur de ma mère et le moindre espoir de refaire confiance à quelqu'un. Après ces quatre années de débauche, d'alcool et de drogue partagées avec Carl, ma mère s'imaginait autre chose qu'un lâche abandon. Je ne l'ai jamais connu, et je ne veux pas le connaître. Me mère me parlait quand même assez souvent de lui. Elle ne faisait pas le deuil de cet amour déchu. Elle le voyait revenir. J'ai donc du être fort pour deux, elle ne mangeait presque plus. Ma nourrice s'occupait plus souvent de moi qu'elle. Je l'ai toujours connus comme ça. Dans l'attente éternel d'un homme que je n'avais jamais vu. Les murs, jusqu'à mes 10 ans au moins, étaient restés rempli de photos de leur jeunesse. Tel un sanctuaire d'un amour trahis dont la souffrance est exposé. Du bout de mes dix ans, je ne désirais qu'une seule chose, l'image de ce traître prohibée. Je ne voulais pas qu'on m'en parle. Je le détestais encore plus que je détestais ma mère de l'aimer malgré tout. Elle en oubliait ma présence. Mon prénom, certaine fois. Plus le temps passait, plus la situation empirait. Il a fallu que Tina en remette une couche. Je ne sais toujours si je lui en veut d'ailleurs. Mais je me souviens trop bien de cette scène. 

FlashBACK-

Je me cachais derrière la porte de la cuisine. Et je les voyais, Tina et ma mère. L'une affalé sur le canapé, de grandes poches sous les yeux. L'autre en tenue de souvrette, astiquant nerveusement un coin de table. Tina prit la parole en première .

« Mlle Preston..Je suis désolé de vous amener le sujet comme ça, mais.. Vous ne m'avez pas payé depuis bientôt trois mois. J'adore Liam, mais je ne peux pas travailler gratuitement.. J'ai une famille.. »

Ma mère ne l'écoutait que d'une oreille, l'autre se démenait à reprendre la folle histoire d'amour entre John et Sam. Elle augmenta le son de la télévision.

« Tina, regardez. John est revenu, il le dise à la télé ! John est revenu pour Sam, parce qu'il l'aime. C'est la nature des choses. Carl m'aime, il me l'a dit hier, hier, hier... Je le savais, je sens ces choses là. Carl va revenir. Tu entends ? Il reviendra. IL REVIENDRA ! »

Elle se recroquevilla sur elle même, les genoux collés sur son buste amaigris. Elle fourra sa tête dedans et se balançait d'avant en arrière. Puis, comme prise d'un spasme, elle avança sa main en avant et attrapa une petite boite avec de la poudre à l’intérieur. J'ai longtemps cru que c'était pour le rhume, comme elle me l'avait dit. Sauf que cette fois-ci, elle pris la petite poudre au doigt et l'étala sur ses dents. J'avais dix ans. Dix ans. Je ne comprenais pas, je suis sorti de ma cachette en pleurant. Pourquoi criait-elle encore ? Elle disait n'importe quoi. Plus rien n'avait de sens. J'avais perdu ma mère. C'est à ce moment que j'ai compris, mais bêtement, j'ai fermé les yeux. Les larmes coulaient tout de même sur mes joues. Je me souviens encore de ma tête quand je l'ai vu prendre ce que je pensais être des médicaments pour le rhume dans la bouche. Pourquoi pas par le nez ? Les rhumes de la bouche, ça n'existe pas ? Quel idiot. 

Je revois le visage de Tina affolé courir vers moi.

« Attend sagement ici Liam.. Tina va revenir avec de l'aide, je vais te sauver d'ici. »

Les derniers mots qu'elle me prononça avant qu'elle ne parte à son tours. Après qu'elle soit parti de la maison, j'avais l'envie, comme tout les enfants de mon âge, de rejoindre ma mère, de lui faire un bisous avant de me coucher. Je montai donc sur le canapé à côté d'elle. Entre temps, elle avait replongé la tête entre ses deux genoux. Je lui tapote l'épaule et elle se lève en un bond. Elle crie. Je crie. Elle prend un balais et le tiens comme une fourche en le plaçant devant elle. Je pleurais les larmes de mon corps.

« Qui es-tu ? Que fais-tu dans ma maison ! Tout ça est de ta faute ! TA FAUTE ! Il m'a dit qu'il m'aimait..Il me l'as dit..tout à l'heure, quand il reviendra, il me le redira. ! Rentre chez toi ! RENTRE CHEZ TOI ! »

FLASHBACK

En fait, Tina avait appelé un service d'ordre pour enfant délaissé. Voyant l'état de ma mère, elle ne pouvait pas avoir sur la conscience un petit dans les bras d'une femme comme ça. J'ai donc été placé dans une riche famille. On m'a inculqué des valeurs, un nouveau nom de famille. Je n'ai jamais revu ma mère. Je ne veux pas la revoir. Enfin je crois.. Je vais vous avez que la première fois que l'on m'a évoqué cette ville ; Bedford, j'ai chancelé. Je ne voulais pas aller là-bas, on m'a arraché de ma région pour m'emmener dans un manoir trop grand et trop luxueux. Je ne savais même pas que ça pouvait exister. Mr et Mme Deakin m'ont par la suite adopté, en me donnant leur nom, il m'offrait un titre. Les Deakin et leur réputation. Je n'avais le droit à aucun faux pas, et si c'était le cas, l'avais le droit aux ceintures de cuirs de mon nouveau père. Quelle vie génial ! J'ai beaucoup étudié. Beaucoup trop. C'était long et inutile. Surtout que je savais ce que je voulais faire depuis longtemps, et que ça ne demandait pas l'université. Mais mon nouveau sang me l'obligeait. J'ai quand même fini par avoir ce que j'ai toujours voulu, le métier de mes rêves, photographe. Photographier mes conquêtes au saut du lit, c'est ma passion. Ma vie a prit un nouveau tournant lorsque mes parents ont pris connaissance d'une ville en reconstruction. Voyant ici l'occasion d'investir beaucoup d'argent, ils ont déménager pour la ville de Tuscaloosa. Détruite il y a peu par une catastrophe et reconstruite depuis. Je ne connais rien de cette ville, et pour tout vous dire, je ne comptais pas suivre mes parents. Après tout à 23 ans ce n'est pas vraiment la peine. Mais mon père m'a offert un local pour que je puisse m'installer et posséder ma propre entreprise. Je ne me voyais pas vraiment refuser. Dans tous les cas, je ne devrais pas tarder à faire l'ouverture de mon magasin. Les Deakin débarquent donc bel et bien. Et je suis près à conquérir la ville entière. Car oui, je suis le plus grand conquérant que la terre est connu, tenez vous prête demoiselle, le grand méchant loup, avec son éternel cigarette clouée dans la bouche est arrivé !